Samedi dit à Sam...
"Samedi de novembre, samedi bien trop sombre. La cendre s'enfume de mille nuages épars. Samedi de quoi, pour une fin de semaine. Samedi, non ça me dit pas. Samedi rame mon lit, loin de mon réveil. Pour la peine du samedi, cent ballons crevés.
Samedi profond auprès des vagues et des vents, proche des forêts et de la lave illuminée. Samedi, comme une taupe à la surface. Samedi comme un livre blanc qui noircit à la lumière. Samedi comme une photo blanche en couleur. Samedi, rien ne cligne, rien ne tapote, tous se touchent. Un mât de mon esprit se dresse, il touche le plafond. J'ouvre la fenêtre et insère cette barre verticale haut dans le ciel. Ciel rouge. Ciel impur. Et mon mât se brise contre quelques vagues, qui chancèlent mon navire. Samedi de la vie."
Ceci était l'ode à la grâce du Samedi, comme promis, comme dû. Si vous ne l'avez pas lu, bienvenue dans notre secte des Partisans du Moindre Effort. Si vous l'avez lu, merci, vous avez le droit de découvrir notre danseuse, enfin dévêtue.
Souvenez-vous d'elle. Elle était calme et tranquille, dansait en valorisant ses attraits, tournait de chaque côté parmi le public hagard. C'était jeudi. Vendredi, jour de repos. Elle est montée dans sa chambre. Dormir, un peu. S'entraîner, réviser, lire, étudier les mouvements… Et la voilà de retour le samedi, pour son grand numéro. Joe Cocker la bouge dans tous les sens, lui vole peu à peu ses habits de fête, lui dérobe la protection de sa nudité. Elle se défleure. Nue, sur un lit, elle se prélasse. Et t'invites à la culture, par la lecture…
Et oui, la lecture, c'est important ! Sans ça, quelle danseuse acceptera de te laisser voir, ou même toucher, son corps ? Il faut l'apprendre. Et HHH est là pour sauver l'humanité de la frigidité féminine par l'apprentissage de son savoir-faire incroyable dans la lecture. HHH est la vie. Vous ne tartinerez plus jamais comme avant.
Dans la grande bibliothèque d'HHH, nous avons choisi pour vous quatre chapitres. Tout d'abord, pour le plaisir des futa, Escape chapitre 3. Puis, suivant l'ordre numérologique, Saint Margareta Academy, numéro 4, toujours plus loin dans la profanation féminine. Ceux qui ont une petite envie de révolte envers les forces policières, Newmanoid Cam, chapitre 5. Et enfin, l'endurance à tout exercice, Nosewasure, numéro 6.
Avec cette sélection, nul doute que notre danseuse de polka (car c'en était une), vous ravira de ses charmes attirants et de ses formes pulpeuses. Et sans l'ombre d'un doute, vous passerez une agréable fin de samedi.
Bonne soirée à chacun !
